• les jeunes générations,

    Favorables à des actions "radicales"
    Lorsqu’on leur demande quelles sont les meilleurs solutions pour limiter le réchauffement climatique, 39% souhaiteraient que l’on force les entreprises à diminuer leurs émission de CO2 sous peine de sanctions.
    Deuxième proposition privilégiée par les jeunes, un changement radical de nos modes de vie : 34% pensent qu’il faut changer notre mode de vie et prôner la décroissance. L'innovation séduit 32% d'entre eux qui attendent un développement rapide des GreenTechs et 17% un développement de l’économie du partage ou de l’économie sociale et solidaire. Enfin, 21% des 15-30 ans privilégient une relocalisation des industries et de l’agriculture pour limiter les transports.
    A lire ces résultats on se dit que :
    1/ ils ont tout compris et leur analyse des actions nécessaires et du diagnostique est lucide. hormis les entreprises jugées durement sans faire la nuance entre grosses multinationales gazières ou productrices d'énergie fossiles, PME et entreprises innovantes...
    2/ Un travail d'information demeure nécessaire, notamment dans les établissements scolaires où le sujet est peu abordé encore...

     


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    lors informés, mobilisés, engagés, enthousiastes les jeunes sur le climat ? Pas vraiment en fait...
    Alors que les médias évoquent de plus en plus régulièrement la COP21, un sondage commandé par les presses universitaires de France auprès des jeunes âgés de 15 à 30 ans révèle que seul un sur trois a entendu parlé de la COP21.
    Une méconnaissance d’autant plus fâcheuse que même lorsqu’ils déclarent avoir en entendu parler seuls 20% savent de quoi il s’agit (13% déclarant savoir précisément de quoi il s’agit).
    Sceptiques sur les résultats
    informés du contexte, ils doutent fortement du résultat de la COP21 : 71% d’entre eux pensent que la COP21 ne parviendra pas à atteindre ses objectifs comme obtenir un accord sur le maintien du réchauffement en deçà de 2°C.
    Leur confiance va aux ONG
    Parmi les acteurs qu'ils jugent capables d'inverser la tendance citons les associations et ONG (53% d'opinions favorables), devant les citoyens (27% seulement d’opinion positives),les gouvernements (22% des jeunes jugent ceux-ci à la hauteur des enjeux du réchauffement climatique) et enfin les entreprises (19% des jeunes les jugent à la hauteur des évènements)
    Ils gardent l'espoir
    Leur état d'esprit ? Ils sont en effet 66% à affirmer que « le réchauffement climatique est en route mais que nous pouvons encore éviter le pire ». Sur ce point, ils ne se démarquent pas des Français dans leur ensemble (67% se placent sur cette position). Les jeunes sont en revanche plus nombreux (21% contre 18%) à se montrer alarmistes (« on ne peut plus éviter un réchauffement climatique de grande ampleur »). Seule note positive : le climato-scepticisme est très marginal chez les jeunes et même moins présent que chez l’ensemble des Français (5% contre 8%).


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    Les piles ainsi récupérées sont réparties en trois groupes. Les piles rechargeables (Ni/Cd) sont acheminées vers une unité de transformation située en France (la SNAM), les piles bouton sont transformées par INDAVER en Flandre, les autres piles étant recyclées par REVATCH à Liège et dès septembre 1999, également par SEDEMA à Tertre.

    La SNAM qui s'occupe des piles rechargeables, recycle le cadmium (Cd) sous forme métallique et le Nickel (Ni) sous forme métallique ou d'alliage ferre-nickel.

    INDAVER s'occupe quant à elle des piles boutons et recycle le mercure et les matériaux ferreux après démercurisation.

    En 1996 et 1997, REVATECH a récupéré 20% des matériaux des piles. Les piles étaient broyées avec récupération de la fraction magnétique (ferreuse), le reste (80% de la pile) était inerte et mis en décharge de classe 1.

    En 1998 on est passé à une récupération de 33% des matériaux. Récupération des matériaux ferreux (20%), du zinc métallique et du laiton (5%) et valorisation de la fraction légère (papier, plastique - 8%).

    Depuis le 1/1/1999 BEBAT optimalise le traitement des piles et recycle en plus de ce qui était recyclé, l'oxyde de zinc et le manganèse (18%). Depuis le deuxième semestre 1999, le bioxyde de manganèse (MnO2 - 8%) est également recyclé. La récupération du manganèse et des oxydes de manganèse est confiée à SEDEMA. En effet, c'est cette firme qui va retraiter le flux restant provenant de chez REVATECH et ainsi récupérer le manganèse.

    Le taux de recyclage prévu pour 1999 est de 51%. En 2000, taux de recyclage escompté: 59%


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    En Europe

    La Communauté Européenne a voté en 1991 une Directive qui interdit, à partir du 1er janvier 1993, la mise sur le marché de certaines piles très polluantes (Directive 91/157/CEE du 18/03/91). Il s'agit essentiellement de piles au mercure. En 1993, cette directive à été modifiée (Directive 93/86/CEE du 4/10/93). Sont concernées par l'interdiction de mise sur le marché:

    • les piles alcalines au manganèse destinées aux conditions extrêmes contenant plus de 0,05% en poids de mercure.

    • les autres piles alcalines au manganèse contenant 0,025% en poids de mercure (les piles boutons ne sont pas concernées).

    • les piles contenant 0,0005% de mercure. Y compris lorsqu'elles sont incorporées dans des appareils (les piles boutons ne contenant pas plus de 2% en poids de mercure ne sont pas concernées). Cette mesure là doit rentrer en application le 1/1/2000 au plus tard.

    En outre, les Etats membres doivent établir et mettre en oeuvre des programmes de mesures visant notamment la réduction de la teneur en métaux lourds des piles et accumulateurs et la promotion de la mise sur le marché de piles et accumulateurs contenant des quantités plus faibles de matières dangereuses et/ou de matières moins polluantes.

    Les piles et les appareils qui en contiennent doivent être marqués par un logo représentant un container barré d'une croix.

     




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    Tous les résidus des lessives ne sont pas toxiques, mais ils sont déversés en quantités telles qu'ils contribuent à de graves pollutions. Les phosphates, par exemple, favorisent une prolifération d'algues qui compromet la survie des cours d'eau lents et des lacs; les détergents attaquent les muqueuses des poissons.

    Le moyen existe de réduire l'impact négatif de nos lessives sur l'environnement. Le choix des produits moins polluants, l'adoption de comportements réfléchis y contribuent largement.

    L'objectif de ce syllabus est de fournir au consommateur des informations de base qui lui permettront de modifier son comportement lorsqu'il fait la lessive.

    Il revient à chacun de nous, en fonction de notre mode de vie, de choisir et de mettre en oeuvre les solutions qui nous paraissent les plus adéquates.

    La publication est divisée en quatre parties:

    Une première partie est consacrée à la composition des produits. Après avoir donné un aperçu de la composition globale à l'aide de tableaux récapitulatifs, chaque ingrédient est décrit, catégorie par catégorie. Les renseignements pour chacun d'eux concernent essentiellement leur fonction dans le produit lessiviel et leur impact sur l'environnement et sur la santé humaine. Cette partie descriptive peut paraître fastidieuse. Elle a été conçue pour être consultée plutôt que lue. Pour aider le lecteur dans sa recherche d'informations, des pictogrammes signalent les informations plus spécifiquement orientées: sur l'environnement ou sur la santé humaine.


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